Ao contrário de ser apologista da objetividade e do
objetivismo, a obra de Comte erige a subjetividade como instrumento contínuo
para compreensão da realidade. Aliás, bem mais do que isso: a subjetividade é
entendida como um instrumento da “lógica positiva”, constituída pela lógica dos
sentimentos, das imagens e dos sinais (esta última sendo a tradicional “lógica”,
que atua nas elaborações científicas, filosóficas e técnicas). O que ocorre é que para Comte a subjetividade tem que ser regulada, em termos morais e intelectuais, pela objetividade: em caso contrário, fica sem parâmetro algum.
Nos termos das teorias sociológicas atuais, a combinação das
lógicas objetiva e subjetiva permite “compreender” as ações humanas individuais
e “explicar” seus encadeamentos. Não há aí nenhuma forma de misticismo.
Assim, é difícil levar a sério as afirmações das escolas “compreensivas”,
“críticas”, pós-modernas e por aí vai segundo as quais o Positivismo negaria a
subjetividade ou que ele reificaria uma sociedade “sem alma” – mesmo a despeito
da fama e do prestígio de que tais escolas gozam. Afirmações desse tipo têm
origem ou na ignorância ou na má-fé (ou em ambas).
* * *
“Ainsi se réalise
déjà l’annonce placée au début de ce chapitre quant à la conciliation normale
entre la logique de l’esprit, guidée surtout par les signes artificiels, et la
logique du cœur, fondée sur la connexité directe des émotions. Quoique
celle-ci, essentiellement subjective, ne semble d’abord convenir qu’à la
culture morale, on vient de reconnaître combien elle peut s’adapter à l’élaboration
intellectuelle, et toute la suite de ce traité le constatera de plus en plus. De
même, l’autre, principalement objective, n’est pas nécessairement bornée à sa
destination rationnelle ; elle comportera désormais une haute efficacité
affective. Chacun peut déjà l’appliquer au culte des souvenirs intimes, qui
deviennent à la fois plus nets et plus fixes quand on détermine assez le milieu
interte avant d’y placer la vivant image. Ni l’esprit ni le cœur ne peuvent développer
une paisible activité sans ce concours continu, instinctif ou systématique,
entre la logique du sentiment et celle de la raison. J’ai expliqué, dans la préface
finale de mon premier traité, comment j’eus le bonheur d’obtenir, dès mon début,
cette harmonie décisive. Elle suivit nécessairement ma découverte initiale des
lois sociologiques, qui fit dès lors converger toujours mes impulsions
politiques et mes tendances scientifiques, d’abord indépendantes. C’est d’un
tel équilibre primitif que j’ai tiré le privilège philosophique de consacrer
tour à tour ma jeunesse et ma maturité à deux grandes élaborations réciproques,
dont chacune semblait réservée à l’autre âge. Ainsi s’explique aussi la
puissante réaction mentale que je dus à ma sainte compagne éternelle, et qui
constitue une vérification décisive de cette harmonie nécessaire entre les deux
méthodes universelles” (Comte, Système de politique positive, v. I, p. 450).
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